« Il faut continuer à travailler les banyuls, c'est un équilibre avec les secs, explique Philippe Gard, vignerons au domaine la Coume Del Mas, j'ai commencé en 1997 et élaboré mon premier banyuls oxydatif en… 2015. C'est le temps qui fait les grands banyuls, mais dix-huit ans pour élaborer un vin c'est très long, on comprend pourquoi on ne peut pas vivre de ça. En tant que vigneron, c'est avec les vins secs que je me fais plaisir, mais le banyuls c'est l'identité du terroir. » En particulier les banyuls dits « traditionnels » ou « tuilés » (voir encadré, les différents types de banyuls), élevé au contact de l'air et que caractérise le rancio, un arôme qui rappelle un peu la noix.
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